Françoise LE ROUX et Chr.-J. GUYONVARC'H figurent parmi les meilleurs spécialistes du monde celtique et ont toujours travaillé à la même oeuvre. Ils sont auteurs de plusieurs centaines d'articles et de nombreux ouvrages traduits en une demi-douzaine de langues. Françoise Le Roux, co-fondatrice de la revue d'études celtiques Ogam, était spécialisée dans l'histoire des religions. Chr.-J. Guyonvarc'h, spécialisé dans l'étude des textes irlandais médiévaux, fut professeur honoraire de celtique à l'université de Rennes II.
-
-
Guerriers redoutables autant que redoutés, les Celtes, de l’Antiquité au Moyen Âge, furent
des combattants hors de pair. Leur bravoure et leur connaissance du métier des armes en firent des mercenaires très recherchés tant dans l’Antiquité qu’à la période médiévale.
À cette excellence militaire s’ajoute une conception particulière de la guerre, différente de celle de Rome et de l’Occident moderne avec une divinité symbolisant la souveraineté guerrière, la Mórrígan. Car le dieu de la guerre pour les Celtes, est une déesse : Mórrígan, la « Grande Reine », épouse du dieu-druide Dagda.
Cet ouvrage nous livre également une étude des rapports de la divinité guerrière et du corbeau qui en est le symbole. Il fait état de la découverte d’une survivance mythologique dans le folklore breton et propose une définition très claire de la notion celtique de la
Souveraineté, axée sur le sacerdoce et la guerre.
Françoise LE ROUX et Chr.-J. GUYONVARC’H figurent parmi les meilleurs spécialistes du monde celtique et ont toujours travaillé à la même œuvre. Ils sont auteurs de plusieurs centaines d’articles et de nombreux ouvrages traduits en une demi-douzaine de langues.Françoise Le Roux, co-fondatrice de la revue d’études celtiques Ogam, était spécialisée dans l’histoire des religions.
-
All'inizio del II secolo a. C. debellate le popolazioni galliche, Roma occupò definitivamente le terre al di là del Po. I trattati stipulati coi nativi contemplavano anche forniture di milizie ausiliarie che, tuttavia, vedremo scendere in campo ben più tardi. Nei fatti, tali auxilia vennero tenuti lontani dai maggiori conflitti sino ai giorni della "guerra sociale". Fu con Cesare, nel bellum Gallicum. che gli ex nemici iniziarono a entrare nelle legioni. Invogliati dagli esiti soprattutto economici, di quell'esperienza, col diffondersi dei modelli culturali romani un cospicuo numero di Transpadani nei secoli I e II dell'era cristiana si volse al "mestiere delle armi", confidando in migliori prospettive sociali. I risultati ottenuti, dopo interminabili anni di coscrizione, non mostrano di averli premiati un granché. Pochissimi di loro, quanto a carriere, riuscirono ad andare al di là dei primi ordines, il centurionato. Meno ancora, congedati, rivestirono ruoli amministrativi e istituzionali di qualche rilievo. La stragrande maggioranza finì per tornarsene a casa, agli antichi mestieri, oppure, mettendo a frutto le esperienze fatte , si volse ai traffici e al commercio, lasciando ai "barbarici" provinciali l'onere di presidiare il limes. Le loro tracce attraverso le fonti storico-letterarie, l'archeologia, l'epigrafia, la linguistica - emergono da questo "viaggio", offrendo visibilità a nomi che un tempo furono persone, con le proprie piccole e grandi storie.
-
-
-
-
-
-
-
Stock épuisé
-
-