Acy-Romance

Dans la commune d’Acy-Romance, situé à 35 km au nord de Reims, rien ne laisse soupçonner l’existence d’un village gaulois. Fait rarissime, ce village de 20 hectares, installé sur un plateau surplombant la vallée de l’Aisne, a pu être fouillé intégralement. Au terme d’une quinzaine de campagnes de fouilles – conduites parcelle après parcelle en période estivale après les moissons – s’est dégagée la physionomie de la petite cité gauloise située, il y a 2 200 ans, au coeur du territoire du peuple des Rèmes. Les vestiges découverts sur ce site archéologique ont permis de connaître le mode et le niveau de vie des habitants, des épisodes de la vie quotidienne, ainsi que des pratiques funéraires, extrêmement sophistiquées et codifiées. Les inhumations bien particulières de jeunes hommes découvertes à proximité du « grand temple » évoquent des sacrifices humains qu’aucun site gaulois n’avait révélés auparavant.

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Association Française pour l’étude de l’âge du fer :

L’AFEAF est l’Association Française pour l’étude de l’âge du Fer, période qui couvre en Europe occidentale le dernier millénaire avant notre ère, et correspond globalement aux populations celtiques. Le carnet de l’AFEAF sera consacré à la diffusion des informations scientifiques concernant l’étude de l’âge du Fer en Europe.

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Association pour la Recherche sur l’Âge du Fer en Auvergne (ARAFA) :

Fondée en 1990, l’Association pour la Recherche sur l’Âge du Fer en Auvergne (ARAFA) fédère la quasi-totalité des acteurs des recherches archéologiques programmées sur la période gauloise en Auvergne. Elle agit en concertation avec le Service Régional de l’Archéologie et en liaison avec les autres acteurs de l’archéologie régionale. Elle regroupe des chercheurs de toutes origines institutionnelles, avec une ouverture internationale. Lieu d’échanges humains et scientifiques, l’ARAFA participe à l’actualisation permanente des connaissances sur la période gauloise en Auvergne.

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Arkeomedia :

L’association ArkéoMédia est une association loi 1901, à but non lucratif. Créée en mars 2007, elle a pour objectif de contribuer à une meilleure diffusion des connaissances et des méthodes de la recherche dans le domaine de l’archéologie et de l’anthropologie et de rendre accessible à tous (enfants, adultes et personnes en situation de handicap) l’ensemble de ces savoirs.

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Archéo-Tintignac :

Le sanctuaire gaulois et gallo-romain de Tintignac

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Centre Allonnais de Prospection et de Recherches Archéologiques (CAPRA) :

Le CAPRA est une association loi 1901 qui a été crée en 1981 par des étudiants, des universitaires et des bénévoles afin de récolter le maximum d’informations sur le passé d’Allonnes et apporter ainsi une aide substantielle aux fouilles archéologiques menées sur la commune par l’Université du Maine. Très vite des opérations de surveillance de travaux et des sondages d’évaluation ont permis de révéler de nombreux secteurs riches en vestiges et de compléter la carte archéologique d’Allonnes.

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Centre de recherches en Archéologie et patrimoine de la Faculté de Philosophie et Lettres de l’Université libre de Bruxelles :

Le CReA-Patrimoine fédère l’ensemble des programmes de recherche de l’Université libre de Bruxelles dans les domaines de l’archéologie et du patrimoine, tant en Belgique qu’à l’étranger. Il assure la formation pratique des étudiants à l’archéologie de terrain et constitue l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics en charge du patrimoine.

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Chronozone :

Chronozones est une parution annuelle entièrement conçue par les étudiants des sections de l’IASA: histoire ancienne, archéologie (classique et provinciale romaine), grec, latin et tradition classique. Ainsi, les sujets touchés s’étendent des questions archéologiques à celles portant sur la philologie des textes antiques, mais également sur les cultures celtes, etc.

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HAPPAH :

L’association Halte au Pillage du Patrimoine Archéologique et Historique a été fondée en 2007. Elle répond à l’attente des archéologues désemparés face à la montée des pillages, du trafic des objets et de la dégradation des sites. HAPPAH, c’est un réseau de 1200 membres et associations affiliées. Si la plupart des profils professionnels et bénévoles ayant un rapport avec l’archéologie et le patrimoine y sont représentés, l’association est avant tout un regroupement de citoyens d’horizons multiples. Mobilisée pour la défense et la protection du patrimoine archéologique et historique face à toutes les formes de pillage, HAPPAH est agréée par le Ministère de la Culture et de la Communication.

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INRAP – Institut national de recherches archéologiques préventives :

L’Inrap a été créé en 2002 en application de la loi sur l’archéologie préventive. L’institut assure la détection et l’étude du patrimoine archéologique touché par les travaux d’aménagement du territoire. Il exploite et diffuse l’information auprès de la communauté scientifique et concourt à l’enseignement, la diffusion culturelle et la valorisation de l’archéologie auprès du public. Sa création traduit l’importance prise, depuis les années 1970, par la recherche archéologique en France et témoigne de la volonté de l’État de soutenir l’exercice de cette mission de service public d’intérêt général.

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Librairie Archéologique :

La Librairie archéologique est spécialisée dans la diffusion par correspondance de publications archéologiques allant de la Préhistoire aux Temps Modernes. Le domaine privilégié est celui de l’archéologie européenne et du bassin méditerranéen, mais d’autres régions sont également abordées : Egypte, Proche et Moyen-Orient, Extrême-Orient, Asie, Océanie et Amériques.

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LUERN – Fouilles de Corent :

LUERN est un laboratoire associatif dédié à l’étude et à la promotion des vestiges archéologiques découverts sur le plateau de Corent et à ses abords. Organisme non lucratif d’intérêt général, il dispose d’un caractère scientifique et culturel visant à la mise en valeur du patrimoine historique et à la diffusion des connaissances scientifiques.

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Pro Vistiliaco :

Association qui a pour but «d’encourager et soutenir l’exploration archéologique dans le Vully fribourgeois, en particulier celle de son oppidum». Elle veut également contribuer à la conservation et à la mise en valeur des vestiges archéologiques, promouvoir les recherches et diffuser auprès d’un large public les informations concernant le patrimoine archéologique de la région.

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Revue archéologique de l’Est (RAE) :

La Revue archéologique de l’Est (RAE) publie, dans un volume annuel de 300 à 400 pages, les résultats les plus importants des recherches archéologiques menées dans l’Est et le Centre-Est (Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Lorraine et nord de Rhône-Alpes). C’est une des revues interrégionales d’archéologie soutenues par le ministère de la Culture et le CNRS. Fondée en 1950, elle est éditée par la Société archéologique de l’Est (SAE), association loi de 1901 basée à l’Université de Dijon, au sein des locaux de l’UMR 6298-ARTeHIS, à laquelle elle est étroitement liée.

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Société Belge d’Etudes Celtiques (S.B.E.C.) :

La Société Belge d’Etudes Celtiques (S.B.E.C.) entend se consacrer à l’étude scientifique de tous les aspects de la culture et de l’histoire des Celtes, depuis les temps les plus anciens jusqu’à nos jours. Sans vouloir en aucune façon s’y cantonner, elle accorde un intérêt particulier à la méthode de la comparaison indo-européenne (linguistique et culturelle). La S.B.E.C. se veut un lien entre les divers spécialistes intéressés de près ou de loin au monde celte: historiens, linguistes, archéologues, historiens des religions, historiens des arts, etc. Elle se veut aussi un lieu de rencontre entre le monde académique et le public intéressé par une information fiable sur les Celtes.

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